Faisons connaissance
avec Stéphane LEPREVOST, nouveau propriétaire de l’Auberge Chez Maïté
Son parcours :
Normand d’origine, mais habitant au Pays Basque depuis 5
ans, ce papa de 4 garçons, dont 2 travaillent dans le tourisme et l’hôtellerie,
a passé 28 ans à travailler dans la
grande distribution en tant que responsable du secteur non alimentaire. On peut
dire qu’il n’était pas prédestiné à reprendre une auberge avec restaurant mais
il peut enfin réaliser son rêve d’enfant : posséder sa propre
« affaire » et par conséquent être son propre patron.
Dès la première visite de l’établissement, il a succombé
aux charmes de l’Auberge Chez Maïté. Il n’a pas su résister au cadre, à
l’atmosphère du lieu installé au cœur du village : « une petite
structure proche des gens » comme il aime à le dire.
Un souffle nouveau
:
En cuisine, il a souhaité avant toute chose le retour
d’une femme aux fourneaux car il fallait une femme à la tête de la cuisine d’une
auberge qui s’appelle Chez Maïté. Par contre, son nom n’est pas Maïté mais
Carmen et ce n’est pas une novice puisqu’elle a déjà œuvrée dans les cuisines
du Kaïku à Saint-Jean-de-Luz et du Trinquet à Bayonne. Elle cuisine uniquement
des produits frais et de saisons pour réaliser des plats à la fois gourmets et
traditionnels.
Le restaurant et l’espace bar ont été totalement relookés
dans un esprit chic et contemporain qui donne une ambiance plus cosy et lounge.
Au niveau de l’hôtel et des 7 chambres, peu de
modifications. Simplement l’ajout d’accessoires et de décoration.
En pratique :
Le restaurant est actuellement ouvert du mardi au dimanche,
tous les midis et les vendredis et samedis soirs. Jour de fermeture le lundi.
Le midi il est possible de déjeuner avec une formule
entrée, plat, dessert à 15€ ou entrée, plat ou plat, dessert à 12,50€.
L’hôtel accueille les clients toute la semaine avec un service de restauration midi et soir sur place.
Ce que les
premiers clients en disent :
Les premiers retours sont très positifs notamment au
niveau de la qualité des plats et de l’accueil. Le bouche à oreille fonctionne
bien et les clients satisfaits envoient de nouveaux clients. Les gambas de
Maïté, le Ttoro maison et le pain perdu sont soit-disant à « tomber par
terre ».
+ d'infos sur : http://www.urrugne-tourisme.com/fr/se-restaurer.html